Je dis de Malo

21 juillet 2013

c/o lettercamp

 

Le principe est simple. Les lettres, posées sur la plage, sont là. Patientes. Attendent un sens. Une main, l’envie d’écrire, d’un estivant passant. Ce jeudi-là, le 18 juillet, une brume de mer sévissait. 98% d’humidité relative, visibilité réduite, vent force 4-5. Les lettres sont restées longtemps à attendre. Seul la caméra automatique, mécaniquement, prenait note, trace. Comme ici.
Personne ne s’attardant vraiment sur la plage.
C’est le poste de secours qui, à un moment, donna le signal de départ. « Vincent Love ».